08 mai 2008

Route fermée - Allemont - Rieu Claret

Et hop un jour férié avec une météo qui ne semble pas tant pire.
Et hop direction Allemont, où je pose la voiture.
Et hop je sors le VTT.
Et hop c'est parti vers le col du Glandon. On verra bien jusqu'où ça monte.


Première partie facile jusqu'au barrage d'Allemont, puis beaaauuuucoup plus physique jusqu'au Rivier. De longs passages bien raidasses en vélo, dur de reprendre après quelques semaines sans ski. 1 premier barrage à la sortie du rivier mais ça passe même en voiture sur la droite du parking. Un deuxième, 2 km plus loin, au pied de la descente. Là ça ne passe plus que pour les motos et les vélos. La route est bien encombrée de rochers, parfois à moitié recouverte par les coulées de boue/rochers. Il y a des zones où c'est clair qu'il ne faut pas traîner. Mais ça passe bien.


A 1 ou 2 km du barrage de Gd Maison, les restes de la première grosse coulée.


Une fois le barrage passé, la route taille un balcon dans la montagne offrant un joli contraste entre le lac et les Aiguillettes de Vaujany.


Les fameux murs de neige que je suis venu voir. On imagine facilement la taille de la coulée.


Du pont de Rieu Claret, les versant est sont encore en neige, alors que les expositions sud... .


Vers les aiguilles d'Argentières, il n'y a carrément plus de neige en-dessous de 2000 m.


A priori, la route est partiellement et suffisamment dégagée pour les vélos et motos jusqu'au col du Glandon.


Ajouter une imageEncore une belle vue sur le lac, avant de commencer la descente.


Une autre coulée sous le barrage, dont on devine la route de service.


On repasse devant la première coulée qui recouvre complètement la route.


Retour au fond du défilé du Maupas, quand on voit où passe l'ancienne route, on se dit que la DDE a bien fait d'en creuser une autre en rive gauche.


Les inévitables débordements orageux débarquent sur notre Grand Pic, il est temps de rentrer, ça risque de taper.


Retour à l'endroit où la route est coupée, il reste les 2 même km pour remonter au Rivier, mais avec des passages à 12%. Ca chauffe dans les cuisses.

La suite de la descente, c'est la course avec 3 routards que je rattrape presque avant d'imploser dans la petite montée qui rejoint le lac d'Allemont.
20 km, 1000 m de dénivelée, une bonne sortie.

16h30, je suis de retour à la civilisation et me retrouve sur le toit d'une maison à changer le chapeau d'une cheminée.

Et hop, on finit la journée autour d'une bonne grillade. Trop bon.

04 mai 2008

Une virée dans le sud

WE du 1er mai, je suis un peu fatigué et je dois saturer un peu au niveau du ski de rando. Bref j'ai moins envie en ce moment, l'occasion d'aller faire un tour dans le sud

Ca commence fort avec le ciel méga plombé sur Valence TGV, avec le rayon de soleil qui va bien.


Ca continue le lendemain,


avec un petit coucher de soleil dans un de ces endroits que j'aime, où pour une fois, y a pas de vent.


La symphonie des couleurs peut commencer,



selon les réglages de l'appareil,


selon la position du soleil (puisque c'est quand même lui qu'on va voir)


selon la présence d'un nuage


jusqu'à la fin.


L'occasion d'aller refaire un tour en Cerdagne, cette vallée perchée au fin fond de la France à la frontière espagnole.


L'occasion d'aller manger dans ce lieu improbable, rien que pour la terrine, et les boules de Picoulat (je ne vous en dis pas plus, mais c'est divin), pour les curieux, le resto c'est l'Auberge des Ecureuils.


Un incursion sur la côte vermeille qui se donne des airs d'Ecosse, et il est temps de rentrer.

C'est toujours un plaisir.