28 août 2011

Carrière Romaine et une nouvelle combe

Cette fois c'est mon pote Louis qui veut aller manger un peu de dénivelé.
Et hop, c'est parti pas trop tôt (on s'en fout on a le temps) avec dans l'idée de faire la boucle inverse de celle que j'avais faite l'année dernière. Sauf qu'au bout d'une demi-heure, on croise une brave dame qui nous parle d'un sentier peu fréquenté, joli, pas trop humide, tout ça quoi, et qu'on décide d'enquiller. Sauf que le sentier il est pas marqué, qu'on le perd, et qu'on se retrouve dans le lit d'un torrent. Pas grave, au moins on verra des chamois. Après le torrent, c'est la remontée façon sanglier d'une crête bien raide,


puis une traversée encore plus raide, courte mais expo pour rejoindre la combe qui nous propose une sortie acceptable (un peu au pif, mais bon...) et avec les rochers qui ne veulent pas rester en place.


Toujours au pif, non à l'intuition, ça fait plus classe, je propose de viser le haut de la combe qui devrait nous mener dans la combe de la Selle.


On rejoint bien une combe, peuplée de jeunes chamois et assez mal marquée sur la carte, donc on n'est pas sûr de l'endroit où on est.



En tout cas, le panorama est un ravissement pour les yeux.


Toujours dans le doute, on décide de remonter toute la combe. C'est pas trop raide, juste ce qu'il faut pour bosser un peu le cardio et les cuisses. Ca sort à droite comme à gauche de l'aiguille.


Après la combe, en longeant les crêtes, on tombe sur la combe de la Selle. On a donc remonté la petite combe sous le sommet de Peyre Rouge, située entre le pas de la selle et celui des Bachassons.


Fin de journée au-dessus des Bachassons, face aux deux Veymont.


Un petit aller-retour à la carrière romaine en passant par l'arbre taillé,


et il ne reste plus qu'à remonter la plaine de la Queyrie puis rentrer par les Bachassons.

Une belle journée

20 août 2011

Promenons-nous dans les bois


Ça commence par un excellent resto, puis on enchaîne avec Yaïe sur une balade


en commençant par longer les falaises.



Une fois dans la forêt, on cherche puis on trouve la grotte. Ça tombe bien, fait chaud dehors.


Ensuite on sort la carte et on cherche les marques sur les arbres, un truc de chasseur, j'ai pas tout compris.


Pour finir, on revient vers les falaises et on contemple la combe, allongés au bord du vide.
La mare au fond elle est formée par la résurgence du Cholet accessible à pied. Comme disait Jean-Jacques, on ira.

(photos prises avec le portable, d'où la qualité très moyenne).

15 août 2011

Un air de vacances (suite et fin)

Une petite balade VTT par grand vent


avec une belle lumière


dans les collines au bout de la plaine du Roussillon.


Puis un aller/retour au phare du Cap Bear pendant que les filles pratiquent plagitude et bronzitude.


Toujours aussi belles ces criques


Le phare


se rapproche


Encore un jour de grand Vent (là ça doit taper le 90-100 km/h)


Les ombres s'allongent, le vent commence à tomber, la San Miguel nous attend.

toujours un air de vacances

un petit Tour à la Mecque du kite


Ben lâche pas la barre parce ça souffle

Ça, ça me plait, faudra que j'essaie, non parce que dans l'eau, c'est trop mouillé, tout ça quoi.


Collioure Colorée


Là c'est bon, y a tout sur la photo.

Photos prises avec un bridge et un zoom de malade

Un air de Vacances

Euuuuuuh Au feu !!!!! hein ? Ah oui c'est ça Auuuuu Feuuuuuu !!!!!!


On a retrouvé le chapeau de Gandalf (pour ceux qui ont vu le Seigneur des Anneaux, les autres, désolé)


Un poil retouchée, j'avoue


Comment c'est la chanson ? Ah oui, Surfing in the USAAAAAA !!!


Là je vois Un Phoenix ? Faut que j'arrête le Rosé, moi. Ouais, demain j'arrête.


Tiens une éolienne, c'est Niine qui va être contente.


01 août 2011

Combe de l'Aiguille Noire - col des rochilles en boucle

Encore un truc que je veux faire depuis longtemps, à pied ou à skis, et finalement ce sera en VTT.
La logique voudrait que je parte de Valloire, que je remonte la route du Galibier jusqu'à Plan Lachat puis la piste jusqu'au col des Rochilles, puis le col de la Plagnette avec un petit portage pour enfin descendre sur Valloire par la combe de l'Aiguille Noire. Comme je ne suis pas toujours très logique, ce sera départ de Valmeinier (ce qui évite une manip de voiture), puis la montée par une piste carrossable jusqu'à la chapelle des 3 croix, puis une traversée vers le hameau de Poing Rogereuil.


Dans la traversée entre les 3 Croix et Poing Rogereuil, il fait beau, un peu frais, le terrain est un peu gras, mais malgré 3/4 passages à coté du vélo, le reste est assez roulant.


Le monotrace qui part des 3 Croix fait place à une piste hyper roulante. Gros avantage de l'itinéraire, il évite la descente sur Valloire.


A partir de la Chapelle de Geneuil, on commence à apercevoir l'Aiguille Noire qui va être le point de mire d'une partie de la journée. J'ai repéré cette partie lors de cette sortie fin janvier.


A la jonction avec la piste des selles, les choses se précisent : en face l'Aiguille Noire et sur sa droite la combe à remonter en entier.


La traversée sous le massif de la Setaz est de toute beauté, avec notamment de couloir des Chamois. Presque plus joli qu'en hiver.


Vers 2000, je craque, j'en ai marre de remonter la piste, alors je décide de descendre suivre le torrent de l'Aiguille noire au plus près. Pourtant je sais que l'itinéraire normal passe par la bergerie dont j'ai oublié le nom et que je risque de la regretter un peu, mais bon le coin est bucolique à souhait, ça compense.


Un troupeau de vache est en estive le long du ruisseau, et en approchant, je me rend compte que le taureau que je n'avais pas vu s'est levé et me regarde. La solution : mettre le torrent entre nous. Au final, la recherche du meilleur itinéraire me fera traverser la torrent 5 fois. Et cette Aiguille Noire qui se rapproche lentement.


Et toujours ces pentes de la Setaz entre pelouse et barres rocheuses.


Après les ruines marquées sur la carte, et à l'endroit où on quitte le torrent, le terrain devient beaucoup moins


roulant (oui c'est le mot).


Là on voit où fallait passer, la bergerie avec la traversée quasi à flanc.


La dernière portion de plat avant la montée au col de la Plagnette, il reste 500 de + pour l'atteindre. C'est ici que je m'arrête pour manger, les fesses humides, c'est une tourbière. pffff !
La portion la plus difficile est au fond, dans le vallon qui monte vers la droite juste sous l'Aiguille noire.


Après 200 m inroulables et impoussables, le terrain devient plus accueillant même si ça continue de monter en pente plus ou moins douce.


Le profil de l'Aiguille Noire commence à changer. On se rapproche et on va bientôt la dépasser.


Vers 2300 m, la pelouse fait place à la rocaille. La pente devient beaucoup raide, ça commence à tirer dans les jambes et dans les bras.


Puis c'est l 'arrivée au col de Plagnette devant le lac Rond. Une pause Kfé bien utile devant ce panorama et c'est reparti.


Un petit aller/retour au seuil des Rochilles devant le lac de la Clarée et faut remonter au col des Rochilles, mon pèlerinage annuel.


devant le lac du grand Ban.


A partir de là c'est descente ininterrompue jusqu'à Valloire, avec pour commencer la traversée du camp militaire sous le pic de l'Aigle.


Le couloir de la Clapière est presque en condition pour ceux que ça démange.


Un petit stop devant feu le lac des Mottets. La Pointe des Cerces et dans les nuages et le col de la Ponsonnière est à l'ombre.


Le reste de la descente emprunte la route du Galibier jusqu'au Pont de la Rivine, puis le sentier qui longe la Valloirette jusqu'à Valloire où on nous dit que le Tour est passé par là cette année.


Une montée facile jusqu'au télégraphe, 3 bornes de descente et 3 bornes de montée à Valmeinier et la boucle est bouclée. 1600 m de D+, une 40taine de km à vue de nez, et 7 h sur ou à côté du vélo. Bien content.
Faudra juste le refaire dans l'autre sens.