28 septembre 2009

Almeria : entre admiration et déception

Les vestiges d'un une forteresse arabe doublée d'un palais et un bidonville, voilà l'image que je garde d'Alméria, point d'entrée des immigrés africains qu'on retrouve à être exploités, pardon, à travailler dans la vallée du plastique (des serres sur des km), le potager de l'Europe.




L'entrée du Palais dans une rue sur le flanc de la colline de la ville. Pas de visite le lundi. Bon, on s'casse.


Après la traversée du bidonville en question, un vraie décharge, on monte au sommet de la colline dominé par une statue, vestige catholique,


cerné par les remparts de la forteresse.


L'Andalousie comme, je l'aime, avec ses villages blancs à flanc de colline.


Et une image de celle que je n'aime pas.


Pour la suite de la journée, direction le Cabo de Gata et son parc naturel, la pointe extrême du Sud Est de l'Espagne, une des dernières zones sauvages.


Le rocher du bout du sud sous un ciel plombé, rare en andalousie.


La côte vers le sud


et vers le nord, une invitation au VTT sur des pistes très roulantes avec la mer en toile de fond, et 2 perles nichées au creux de 2 criques, San José et La Isleta (qui feront l'bjet d'un article plus tard).


Rideau de pluie sur la mer au retour. On s'en fout, on va au bar manger une glace et boire una Cerveza. Muy bien.

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